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Matchs des Verts

CAN2012: Tirage au sort


 

KODJIA COFFI:"c'est le juge de touche..

KODJIA COFFI; qui ne se souvient pas de ce nom ? Cet arbitre rendu célèbre après le match de demi finale entre l'ALGERIE et l'EGYPTE, par son arbitrage qui sortait de l'ordinaire, et le nombre d'expulsions qui a atteint 3 contre les algériens.

Après ce match, l'arbitre en question a été suspendu par la CAF jusqu'à nouvel ordre.

Dans un entretien éclair accordé à echourouk, par telephone, kodjia affirme " j'ai de bonnes relations avec le peuple algérien, et moi personnellement j'aime ce peuple qui est connu pour son assiduité dans le travail, et son amour pour son pays et pour le foot". avant d'ajouter "il est du droit du peuple algérien de dire ce qu'il veut à propos de la défaite contre l'égypte, car chaque personne au monde, qui aime son équipe, doit être déçue après une défaite, en ce qui me concerne, la façon avec la quelle l'égypte à gagné ne m'importe peu, l'essentiel est que j'ai la conscience tranquille, car je juge que je n'ai pas commis d'erreurs".

A propos du carton rouge donné à HALLICHE "tout le monde doit savoir qu'il éxiste trois arbitres sur le terrain, et c'est l'arbitre assistant qui m'a dit de donner le premier  avertissement à HALLICHE, mais ceci importe peu, le plus important, et que pour moi j'ai bien arbitré ce match"

Et à propos de la somme d'argent qu'il aurait touché de la part des égyptiens, KODJIA, a refusé de répondre, même chose en ce qui concerne sa suspension de la part de la CAF, avant de raccrocher.

 


 

Bougherra:"experience benefique"

" Une experience bénéfique "

 Véritable homme fort de la sélection algérienne, Madjid Bougherra revient sur la CAN angolaise pour Sport24.com. Aussi posé dans la vie qu'infranchissable sur un terrain de football, «Magic» livre ses impressions.par Nizar Hanini, le 06-02-2010

Sport24.com : Madjid, avant de s'intéresser à l'Algérie, que retenez-vous de cette CAN en Angola ?
Madjid Bougherra : J'ai trouvé les stades très beaux mais peu garnis. Les pelouses, elles, étaient catastrophiques. Il y avait aussi une circulation monstre aux abords de Luanda. Il nous fallait au minimum une heure de trajet pour accéder au Stade du 11 novembre. Dans l'ensemble, je n'ai pas été déçu. Les Angolais sont très gentils et aimables, l'ambiance était bonne. Le drame du bus togolais m'a profondément touché. Je m'en souviens, on rentrait de l'entraînement lorsqu'on a appris cette terrible nouvelle. Je n'imagine même pas ce qu'ils ont dû ressentir face à ces rebelles. Durant notre quart face à la Côte d'Ivoire, à Cabinda justement, on a senti une sécurité renforcée.

Sport24.com : Concernant l'Algérie maintenant. Défaites surprises face au Malawi et à l'Egypte, victoire héroïque contre la Côte d'Ivoire... Les Fennecs répondent-ils finalement présents quand on les attend le moins ?
Madjid Bougherra : Le premier match perdu face au Malawi (3-0), je le répète, on a été la seule équipe à jouer sous 45° C à 14h00. Il nous était impossible de produire notre football dans ces conditions dantesques. La claque du Malawi nous a fait du bien dans le sens où on a retrouvé une certaine solidité défensive. Par la suite, on s'est ressaisi face au Mali (1-0) et on a su résister devant le pays-hôte (0-0). De l'extérieur, les gens peuvent penser qu'on se transcende uniquement pour les grands rendez-vous, mais ce n'est pas ce que l'on ressent de l'intérieur. On a pris les matches les uns après les autres, sans se poser de questions.

Sport24.com : On joue la 91e minute de la rencontre face à la Côte d'Ivoire. Vous égalisez et envoyez l'Algérie en prolongations. Que s'est-il passé dans votre tête à cet instant ?
Madjid Bougherra : Quand Keita a marqué tout juste avant la fin du match pour la Côte d'Ivoire, j'ai directement dit à Nadir (Belhadj) et à quelques coéquipiers «écoutez moi, je monte devant». Je sentais au fond de moi-même que je pouvais faire la différence. Sur le superbe centre de Nadir, je mets toute ma rage dans le ballon et ça fait mouche.

Sport24.com : On vous a senti moins à l'aise avec Halliche comme coéquipier en défense centrale...
Madjid Bougherra : A dire vrai, je ne le pense pas du tout. Il est clair qu'avec Anthar (Yahia), on se connait mieux mais honnêtement, je m'entends super bien avec Halliche aussi. D'ailleurs, quand on est repassé à une défense à quatre, notre entente a été bonne. Sur le terrain, je ne ressens pas de différence entre les deux joueurs.

Sport24.com : Cette CAN a-t-elle été une bonne préparation pour la Coupe du Monde 2010 en Afrique du Sud ?
Madjid Bougherra : Totalement. Cette compétition a été le top pour nous car on a tout connu et on est surtout passé par tous les sentiments possibles et imaginables. On a appris à chaque match. Même notre défaite face à l'Egypte où l'arbitrage ne nous a pas favorisés nous a permis de gonfler notre expérience du haut niveau. On saura lors des prochaines échéances comment réagir face à ce genre de scénario. On arrivera aussi en Coupe du Monde avec une bonne connaissance du climat africain et de ses reliefs parfois difficiles. Franchement, cela a été une expérience très bénéfique.

Sport24.com : Personnellement, avez-vous reçu des offres suite à votre beau parcours ?
Madjid Bougherra : Dès le départ, tout était clair et je l'ai même dit aux différents journaux : je finirai la saison avec les Glasgow Rangers. J'essayerai de remporter le triplé avec les Rangers avant d'aller en Coupe du Monde. Ensuite, on verra ce que le destin nous réservera. Il se peut qu'en juin je prolonge comme je peux partir.


 

Bougherra et Ziani dans l'équipe type

Madjid Bougherra et Karim Ziani dans l'équipe type de la CAF

La CAF a révélé dimanche, en marge de la finale de la CAN Orange 2010, son onze-type de la compétition. Avec les joueurs choisis, parmi lesquels 5 Egyptiens, on pourrait organiser le 4-3-3 suivant :

Onze-type : El-Hadary (EGY) - Mabina (ANG), Bougherra (ALG), Gomaa (EGY), Fathi (EGY) - Song (CMR), Hassan (EGY), Odemwingie (NGA) - Gyan (GHA), Flavio (ANG), Zidan (EGY).

Remplaçants : Kingson (g) (GHA), Mbola (ZAM), Emana (CMR), Asamoah (GHA), Keita (MLI), Ziani (ALG), Gedo (EGY), Ayew (GHA), Mouloungui (GAB), Obasi (NGA), Mulenga (ZAM), Kalou (CIV).

 


 

CAN:Bougherra titulaire,Matmour...

  Sport24.com a dégagé les 11 joueurs qui ont marqué la CAN 2010 en Angola. De Gyan à El-Hadary en passant par Song, lumière sur les principaux acteurs de la compétition reine africaine.

Gardien :
Essam El-Hadary (Egypte) : On ne présente plus le célèbre portier des Pharaons. Légende vivante en Egypte, El-Hadary a parfaitement tenu son rôle au sein d’une défense qui se connait sur le bout des doigts. Imprenable sur les ballons aériens, redoutable en «one to one», le dernier rempart des Champions d'Afrique a rarement été inquiété durant cette CAN. Et lorsqu’il fallait intervenir, il le faisait avec brio. A l’image de cette parade sur un coup-franc de Yebda en demi-finales. A 37 ans, l’actuel portier d’Al-Ismaily ne semble pas enclin à rendre son tablier. Tant mieux serions-nous tentés de dire.

Défenseurs :
Samuel Inkoom (Ghana) : C’est l’une des plus belles trouvailles de cette 27e édition de la CAN. Samuel Inkoom, latéral droit de formation, a épaté sur les terrains angolais. Solide défensivement et machine à centrer une fois le côté droit dévalé, le jeune défenseur ghanéen (20 ans) continue sa montée en puissance. Elément essentiel de l’équipe des moins de 20 ans du Ghana championne du monde en 2009, le joueur est parti monnayer son talent à Bâle. Plus pour longtemps…

Madjid Bougherra (Algérie) : Les supporters écossais des Glasgow Rangers ne se sont pas trompés en le surnommant «Magic». Car le défenseur central des Verts a écœuré plus d’un attaquant en Angola. Drogba, Manucho, Kanouté, tous se sont cassé les dents en voulant défier le robuste Fennec. Orphelin de son compère Yahia, Bougherra n’a pas été en mesure de colmater seul toutes les brèches, s’avouant vaincu à plusieurs reprises. Toutefois, son but égalisateur en toute fin de match face à la Côte d’Ivoire restera comme l’une des images fortes de cette CAN.

Wael Gomâa (Egypte) : Puissant, solide et rusé. Une fois n’est pas coutume, Gomâa a tenu d’une main de maître la défense égyptienne. Adroit avec sa tête comme avec ses coudes -demandez donc aux attaquants présents en Angola- le rugueux défenseur d’Al-Siliya au Qatar a joué au pompier en terres angolaises. Presque dommage de ne pas l’avoir vu à l’œuvre sur le Vieux Continent. Rien n’est jamais trop tard, mais à 34 ans, cela semble utopique.

Sayed Moawad (Egypte) : Quand on parle de l’Egypte, on zappe assez facilement l’apport monstre de Moawad. Pourtant, le virevoltant latéral gauche d’Al-Ahly a fait des siennes. Contre-attaquant hors pair, Moawad s’est montré particulièrement précis dans le dernier geste. Face au Nigeria par exemple, il n’a pas hésité à prendre son couloir avant de servir Gedo pour le 3e but égyptien. A l’image de Gomâa, un joueur beaucoup trop sous-médiatisé.

Milieux :
Ahmed Al-Mohammedi (Egypte) : Pour changer, un autre Egyptien dans cette équipe type «made in Nil». Et quel Pharaon ! Al-Mohammedi est incontestablement l’homme fort des Rouges durant la phase finale. Des équipes comme le Cameroun ou l’Algérie peuvent d’ailleurs en témoigner. Positionné sur le côté droit de la défense égyptienne par Hassan Shehata, le pensionnaire de l’ENPPI a eu, pendant trois longues semaines de compétition, le coffre nécessaire pour faire l’essuie-glace sur son côté droit. A seulement 22 ans, nos clubs seraient drôlement inspirés de le recruter.

Alexandre Song (Cameroun) : Parmi les noms ronflants attendus au tournant, Alexandre Song fut l’un des seuls à confirmer sous le maillot des Lions Indomptables. Au sein d’une formation camerounaise qui se cherche encore, le neveu de Rigobert Song a brillé dans l’entrejeu. Agé à peine de 22 ans, le Gunner a pris ses responsabilités, volant même la vedette à Eto’o. Beaucoup trop esseulé, il n’a cependant pas pu éviter la déroute face à l’Egypte en quarts de finale (3-1).

Ahmed Hassan (Egypte) : 172 sélections, 32 buts, 4 CAN. Pas besoin de longues phrases pour décrire Ahmed Hassan, son bilan s’en charge. Elu meilleur joueur de la CAN 2010 par la Confédération Africaine de Football, le ratisseur d’Al-Ahly a honoré avec réussite son rôle de capitaine. Buteur à trois reprises, Hassan sait aussi user de sa notoriété auprès des hommes en noir. Au bord de l’inacceptable face au Cameroun en quarts de finale, il faisait basculer la rencontre contre l’Algérie en demi-finales par ses incessantes réclamations. Un vrai roublard comme on les aime…

Peter Odemwingie (Nigeria) : Il aura fallu l’incorporation d’Odemwingie au sein du onze nigérian pour enfin trouver quelques points positifs aux Super Eagles. Car avant que l’ex-Lillois ne fasse son entrée dans la compétition, les poulains de Shuaibu Amodu faisaient peine à voir. Déroutant dans ses dribbles, le sociétaire du Lokomotiv Moscou se sera démené comme un beau diable au sein de l’attaque nigériane. Seul petit bémol, sa prestation insipide face au Ghana en demi-finales. Plus que jamais, quand Odemwingie ne va pas, rien ne va au Nigeria.

Attaquants :
Mohammed Zidan(Egypte): Qu’on se le dise, l’Egypte a aussi son «Zizou». Et à l’image de notre Zidane national, le Zidan égyptien est tout aussi décisif. Quelque peu discret en phase de poules, l’attaquant du Borussia Dortmund a mis le turbo une fois la phase finale entamée. «On fire» face à l’Algérie en demi-finales (1 but, 2 passes décisives), le maestro du Nil offrait la balle du but victorieux à Gedo en finale. Zidan, what else ?

Gyan Asamoah (Ghana) : On peut dire que Gyan a remporté sa propre CAN. Car même si l’attaquant du Stade Rennais n’a pas soulevé le trophée, ses solides prestations du côté de Luanda ont cloué le bec aux vautours qui rodaient autour de la sélection ghanéenne. Rapide, physique mais surtout réaliste, Gyan a conduit presque seul sa formation en finale. Un but face à l’Angola puis un autre contre le Nigeria ont notamment permis aux Black Stars d’accéder à la dernière marche. Conspué lors de l’édition 2008 sur sa terre natale, le natif d’Accra a pris en Angola une sacrée revanche.

Le joker :
Mohamed Nagy Gedo : Outre un 7e sacre africain, l’Egypte a aussi gagné un exceptionnel attaquant du nom de Gedo. Avec 5 buts inscrits en 172 minutes jouées, l’attaquant d’Al-Ittihad Alexandrie finit en tête du classement des buteurs. Le Super Sub égyptien a entre autres frappé toutes les 35 minutes sur les pelouses angolaises. Un record jamais réalisé jusque-là. A 26 ans, une place de titulaire lui tend plus que jamais les bras.

Remplaçants : Kingson (Ghana), Vorsah (Ghana), Mbola (Zambie), Gilberto (Angola), Asamoah (Ghana), Dhaouadi (Tunisie), Katongo (Zambie), Matmour (Algérie), Flavio (Angola).

par Nizar Hanini


 
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